Moins de risques, moins de pollution, moins de consommation d’énergie. L’inventeur -en 1902- du pistolet pulvérisateur à peinture, l’allemand Krautzberger, propose de remplacer son produit phare. A la place d’une dispersion du produit basée sur l’air comprimé, sa nouvelle invention utilise un jet de vapeur d’eau à la place pour atomiser la peinture ou le vernis en fines gouttelettes. La pression d’air ne sert que pour mettre en pression le liquide via une pompe ou un récipient sous pression. La peinture est plus homogène, car elle rebondit moins sur la surface à revêtir. Ceci a aussi pour conséquence une moindre perte de matière. Selon le constructeur, ce sont 20 à 25% de moins en perte de matière – ce qui réduit d’autant les aérosols polluants. L’humidité résiduelle est moindre car la vapeur s’évacue mieux, ce qui réduit le temps de séchage entre les couches. Cette partie des précédés de traitements de surface est l’une des plus gourmandes en énergie, ce qui laisse présager jusqu’à 50% d’économie d’énergie. Enfin, le personnel reçoit moins d’aérosols polluants, et travaille en ambiance moins bruyante (jusqu’à -20dB). Pour ce nouveau processus, la PME a reçu le prix Hermès de l’innovation de l’industrie allemande lors des dernières foires industrielles de Hanovre. Krautzberger, Eltville am Rhein Tel.+49 (61 23) 698-0 mail@krautzberger.com