Nous avons aussi une activité de recherche, qui comprend notamment des modélisations.
En particulier, nous travaillons à représenter l’avenir des systèmes électriques en France et en Europe (émissions, optimisation des moyens de production, intégration des énergies renouvelables, impact des économies d’énergies…).
Les énergies renouvelables, les contraintes des réseaux, posent pour leur développement des questions techniques mais aussi sociales. De même, la division des émissions de gaz à effet de serre est un défi économique et technique, mais aussi politique et social.
Sur ces études nous collaborons souvent avec des équipes multidisciplinaires : universités ou laboratoire de sciences politiques, de sociologie, d’économie, de sciences physiques, ou encore écoles d’ingénieur.
Une autre dimension du lien avec la recherche est la contribution au groupe 3 (atténuation) du GIEC, depuis 2006. Actuellement il s’agit en particulier d’une relecture experte de plusieurs chapitre du rapport A.R.6 (IPCC AR6) dont le cycle va se prolonger jusqu’en fin 2021.
Par exemple, nous travaillons actuellement avec des étudiants de Toulouse ENSEEIHT pour évaluer l’impact du réchauffement climatique sur la production nucléaire civile.